C’est au-dessus de la plage d'Omaha la Sanglante, sur la colline, qu'a été construit, le 8 juin 1944, le premier cimetière militaire américain de la Seconde Guerre mondiale. 9 387 militaires américains reposent dans ce cimetière militaire sur un des plateaux surplombant la plage où débarquèrent les soldats appartenant aux 1re et 29e divisions d'infanterie américaines.

Le territoire du cimetière est une concession perpétuelle faite par la France aux États-Unis, comme il est d'usage pour tous les cimetières militaires relatifs aux deux guerres mondiales. Il ne bénéficie pas de l'extraterritorialité4. Le cimetière est géré par l'American Battle Monuments Commission, agence indépendante du gouvernement américain. Conséquence de cette gestion, le cimetière (comme d'autres en France et dans le monde) est fermé en cas d'arrêt des activités gouvernementales aux États-Unis, ce qui s'est produit pendant 16 jours en octobre 2013.

Sergent Frederick Niland : c'est le vrai nom du soldat Ryan (du film Il faut sauver le soldat Ryan), car sa famille n’a pas voulu qu’on utilise sa véritable identité. Theodore Roosevelt Jr : fils du président Theodore Roosevelt, il a également combattu durant cette guerre et est enterré dans le cimetière de Colleville-sur-Mer. Il a eu, comme deux autres personnes qui reposent ici, la Médaille d'Honneur du Congrès, et sa tombe est reconnaissable par ses inscriptions de couleur dorée.

Nous n'avons pas fait de photo de sa tombe en particulier .... question pour nous de respect

Inséré entre les communes de Colleville-sur-Mer et Saint-Laurent-sur-Mer, le cimetière est orienté d'est en ouest et surplombe Omaha Beach et la Manche de toute sa longueur sur environ 1 km pour une superficie de 70 hectares. Le littoral est ici protégé.

Toutes les photos sont facilement lisible si vous les agrandissez

d'un clic de souris

De nombreux jardiniers entretiennent en permanence ce lieu et c'est d'une propreté et d'une beauté qui force le respect

 Etape important émotionnellement dans notre passage en Normandie, Saint Mère Eglise, mais également très impressionnés par Colleville sur Mer et surtout son cimetière que nous verrons lors du prochain article.

Des témoignages saisissants 

Une superbe phrase qui hélas est encore bien loin d'être une réalité

Les photos sont toutes en grand format si vous cliquez dessus avec votre souris.

Toutes ces photos anciennes sont prisent sur des panneaux explicatifs très instructif comme vous pouvez le voir à coté de la fontaine en ville

Les photos sont toutes en grand format si vous cliquez dessus avec votre souris.

Les fontaines se ressemblent d'ailleurs elles ont le même "âge" l'une est comme vous pouvez le voir en ville sur la place, l'autre un peu plus loin vers la fontaine saint Meen.

 Puis quelques dernières photos de l'intérieur de cette magnifique église

Puis un dernier coup d’œil "de l'extérieur" au musée où certains engins de guerre sont exposés

Barfleur est aujourd'hui gratifiée du label des plus beaux villages de France, décerné par une association indépendante visant à promouvoir les atouts touristiques de petites communes françaises riches d'un patrimoine de qualité.

 L'aire de Camping car se trouve tout à coté de la ville d'ailleurs on aperçoit un camion "hé non ce n'est pas le notre"  nous sommes cachés par la haie..on aperçoit juste un bout du devant du camion 

Quelques plaques de N° ou de rue qui m'ont bien plut 

Sur les murs de la ville  plein de photos anciennes. c'est très agréable de découvrir la ville autrefois et maintenant

 L'église Saint Nicolas vu de l'intérieur ci-dessous, et de l'extérieur sur le cliché ci-dessus

c'est dans cette maison que l'écrivain Jules Renard écrivit "l'écornifleur"

La plus ancienne maison de Barfleur sur la place Sainte Catherine

Eglise Sainte Marie Madeleine Postel 

Fille d'un cordier de Barfleur, elle est envoyée chez les bénédictines de Valognes, puis revient en 1776 dans sa ville natale ouvrir une école pour enfants pauvres.

Durant la Révolution, elle aide les prêtres traqués à fuir en Angleterre et organise des messes clandestines. Le calme revenu, elle cherche à créer une communauté en direction de la jeunesse pauvre et fonde, en 1807, la Congrégation des sœurs des Écoles chrétiennes de la Miséricorde.

La congrégation s’installe successivement à Octeville-l'Avenel, Valognes et Tamerville, avant de trouver en 1832 dans la vieille abbaye bénédictine de Saint-Sauveur-le-Vicomte, datant du xie siècle, sa demeure définitive, que les sœurs ont rebâtie. À sa mort, la bienheureuse sœur Placide Viel lui succède.

 Béatifiée en 1908, canonisée le 24 mai 1925, on la fête le 16 juillet.